Filtrer les événements: Cinéma

Vendredi 4 octobre – 18h – Strada 4

Vincent GLENN

Diplômé de l’ENS Louis-Lumière, Vincent Glenn fonde quelques années plus tard sa société de production FilmO avec Katya Laraison. Au début des années 2000, il réalise coup sur coup deux documentaires : Davos, Porto-Alegre et autres batailles qui met en regard le Forum économique mondial de Davos en Suisse et le premier Forum social mondial s’étant déroulés simultanément en janvier 2001 et Pas assez de volume, consacré au fonctionnement de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC). En 2011, il réalise Indices, un documentaire qui interroge la pertinence du PIB. Son premier long-métrage de fiction, Enfin des bonnes nouvelles, sort en 2016. Vincent Glenn est aussi auteur ; il co-écrit avec Christophe Alevêque, l’ouvrage On marche sur la dette paru en 2016. L’ensemble de son œuvre est empreinte d’un fort engagement social, environnemental et citoyen.

Et maintenant on fait quoi ? Documentaire

S’alimenter dignement peut-il devenir un droit humain étendu au plus grand nombre ? En Lorraine, entre 2020 et 2022, 13 comédiens amateurs se sont engagés dans une pièce de théâtre relatant quelques-unes des situations quotidiennes vécues par 5 à 7 millions de personnes qui subsistent grâce l’aide alimentaire en France. Au beau milieu de la pièce, l’un des personnages dit : « bon d’accord, c’est bien beau tous vos témoignages, mais concrètement, on fait quoi ? » Un autre lance une proposition : « Et si on faisait un potager tous ensemble ? ». Portée par l’énergie de la pièce, l’idée commence alors à faire son chemin dans la vie réelle. Mais quand la tournée s’arrête, qu’advient-il de cet élan collectif ? Que devient ce désir de concrétiser quelque chose ensemble pour, non seulement, amener « de la dignité dans les assiettes » mais, plus largement, permettre de sortir des situations d’isolements ? Des relais et beaucoup de bonnes volontés existent … Les freins aussi. Et maintenant, on fait quoi ? est un documentaire réalisé à partir de la pièce Les Mots de la Faim, écrit par Adrien Gushing et Dominique Farci et produit par le Théâtre de Cristal, dans le cadre de la démarche « De la Dignité dans les Assiettes ».

Et débat  » De la dignité dans les assiettes, vers une sécurité sociale et alimentaire ? » en présence du réalisateur Vincent GLENN et Gilles PÉROLE, Amélie POINSSOT, Johan GIS

GRATUIT

Samedi 5 octobre à 10h00 – Strada 3

Thierry APPARU

Film et débat – Pollutions plastiques : menace planétaire

Suivi d’un débat avec le réalisateur et Nathalie LAZARIC (CNRS).

Durée : 120′

GRATUIT

Samedi 5 octobre à 16h – Strada 5

Amos GITAÏ

Film et débat – « Shikun »

Drame

Inspiré de la pièce d’Eugène Ionesco, le film raconte l’émergence de l’intolérance et de la pensée totalitaire à travers une série d’épisodes quotidiens qui se déroulent en Israël dans un seul bâtiment, le Shikun. Dans ce groupe hybride de personnes d’origines et de langues différentes, certains se transforment en rhinocéros, mais d’autres résistent. Une métaphore ironique de la vie dans nos sociétés contemporaines.

Amos Gitaï est un cinéaste israélien. Il commence des études d’architecture au Technion de Haïfa, mais doit les interrompre pour participer à la guerre du Kippour (1973). Au cours de ses missions, il utilise une caméra Super 8 et à l’issue de la guerre, il s’engage dans une carrière de cinéaste et réalise House, son premier documentaire en 1980. Son œuvre couvre aujourd’hui plus de 40 années de carrière, une production de près de 90 films, fictions et documentaires, longs et courts métrages, mais aussi des performances théâtrales et des installations, mêlant des formes et des supports variés. En 2018, il est le premier cinéaste à entrer au Collège de France. Par sa nomination, l’institution salue l’œuvre d’un cinéaste « assumant […] les positions de veilleur de notre temps et de notre monde, et d’un artiste constamment en quête de réponses formelles pour prendre en charge ces sujets complexes liés notamment à l’identité, au territoire, à la langue et à la religion. »

Débat : L’émergence de l’intolérance et de la pensée totalitaire

Durée : 2h25

Tarif : 5.50 €

Samedi 5 octobre à 18h – Strada 3

Frédéric PASQUINI

Film et débat – La Route

Un film qui va par quatre chemins

Ce road-movie suit les traces d’une femme. Vêtements et accessoires rouges. Elle traverse un pays. Elle marche. Les rencontres impromptues et la beauté des paysages l’amènent sur des chemins de traverse. Surgissements du merveilleux. Un univers absurde et poétique. Une invitation au pas de côté, à marcher en dehors des clous ou en roue libre : une autre route fait son chemin.

Écriture et performance : Sabine Venaruzzo 

Musique : Eric Longsworth

Durée : 50′ suivi d’un débat  Sabine Venaruzzo – Tout public à partir de 10 ans

Gratuit

Samedi 5 octobre à 18h30 – Strada 2

Maria SCHRADER

Film – She Said, le départ du #MeTooCinema

Drame

Deux journalistes du New York Times, Megan Twohey et Jodi Kantor, ont de concert mis en lumière un des scandales les plus importants de leur génération. À l’origine du mouvement #Metoo leur investigation a brisé des décennies de silence autour du problème des agressions sexuelles dans le milieu du cinéma hollywoodien, changeant à jamais la société américaine et le monde de la culture.

Durée : 2h09

Tarif : 5.50 €

Samedi 5 octobre à 19h – Strada 4

Isild LE BESCO

Film – Ma famille chérie – Avant-première

Pour échapper aux violences conjugales qu’elle subit, Estelle quitte Rome avec ses enfants et débarque chez sa mère la veille d’une grande réunion familiale. Toutes ses sœurs et son demi-frère sont venus des quatre coins du monde pour retrouver la maison familiale, où règne Queen, reine-mère indétrônable. Après des années de séparation, la famille va enfin revoir son cadet, Marc, parti vivre aux États-Unis avec leur père alors qu’il était enfant, suite à un événement tragique. Dans un joyeux bazar, Estelle et sa famille font face aux vagues du passé qui menacent de les engloutir : traumas, secrets, vieilles rancunes et névroses familiales. Bloqués dans leurs mécanismes respectifs, tous se cherchent tels des aimants, entre fusion et rejet. Mais les enfants et les amis de passage sont là pour les rappeler à la vie, à la musique, à la danse et à l’amour. Les rires se mêlent aux larmes et les drames, finalement, semblent soudain plus légers.

Durée : 1h23 suivi d’un débat avec la réalisatrice

Dimanche 6 octobre à 10h – Strada 1

Film et débat – Vive les microbes ! – Marie-Monique ROBIN – Avant-première

Documentaire

Les microbes sont-ils nécessairement nos ennemis ? Causes de redoutables maladies, nous voudrions les éliminer par tous les moyens, et pourtant… Dans ce nouveau film, coproduit par l’IRD, Marie-Monique Robin nous plonge dans l’univers de ces mal-aimés de la biodiversité, dont 99% sont indispensables à la vie ! Depuis 50 ans, la part de la population souffrant d’asthme et d’allergies est passée de 5% à 30%. Après avoir écarté les autres facteurs d’explication, les scientifiques concluent que la cause principale est le manque de diversité microbienne dans nos milieux de vie, artificialisés de plus en plus aseptisés. Ces découvertes scientifiques ont d’énormes incidences politiques, pour l’aménagement des territoires urbains ou ruraux, des écoles ou hôpitaux, car elles impliquent que la protection de la biodiversité est un puissant levier de santé publique !

Marie-Monique Robin est journaliste d’investigation, documentariste et écrivaine. Réputée pour son travail d’investigation très précis, très rigoureux, Marie Monique Robin a réalisé plus d’une trentaine de documentaires à travers lesquels s’exprime son engagement en faveur des droits de l’Homme. Ce qui l’intéresse avant tout est d’informer « pour que les citoyens et les citoyennes puissent agir sur le monde qui les entoure ». En 1995, elle reçoitle prix Albert-Londres pour ses documentaires Voleurs d’organes et Voleurs d’yeux. Réalisés en Amérique Latine, Afrique, Europe ou Asie, ses documentaires dénoncent la torture aux USA, les dictatures d’Amérique du Sud, les dérives de la lutte contre la pédophilie ou les pratiques de l’entreprise Monsanto, leader mondial des OGM. Marie Monique Robin a reçu une dizaine de prix internationaux – dont le prix norvégien Rachel Carson en 2009 -, ainsi que la Légion d’Honneur en 2013.

Durée : 1h34 suivi d’un débat avec la réalisatrice – Tout public

GRATUIT

Dimanche 6 octobre à 10h30 – Strada 2

Film et débat – Ma part de Gaulois, Malik CHIBANE

Comédie

Destiné à un CAP Mécanique, Mourad se retrouve finalement en cursus général grâce aux stratagèmes de sa mère. Objectif : le bac ! Une formalité pour les « français » du centre-ville mais un événement sismique pour Mourad et son entourage : le premier de la cité à aller jusqu’au bac ! Dans son lycée général, séparé de ses copains du quartier, il rencontre de nouveaux amis qui lui font découvrir la musique. Avec en fond sonore les rumeurs accompagnant l’arrivée au pouvoir de Mitterrand au printemps 1981, la Mère avait tout imaginé, sauf que son Mourad soit totalement indifférent au sacro-saint baccalauréat, en assumant sa Part de Gaulois.

D’après le récit Ma part de gaulois de Magyd Cherfi

Malik Chibane est d’abord électronicien et stagiaire éclairagiste. Très vite, il se lance de le septième art en fondant Idriss, une association socio-culturelle qui lui permet, en 1993, de mettre en chantier Hexagone. Dans ce premier long-métrage en forme de chronique sociale, Chibane met en scène cinq jeunes beurs dans la cité qui fut la sienne étant jeune. En 1995, il signe Douce France, cette fois-ci dans des conditions professionnelles, qui lui permet de poursuivre dans le registre de la comédie sociale en racontant le périple de deux jeunes s’emparant d’un butin pour accomplir leur rêve. Après une longue pause, Malik Chibane revient sous les feux de l’actualité en 2004 avec Voisins, voisines, comédie qui réunit Frédéric Diefenthal, Anémone et de Jackie Berroyer. Il réalise en 2011 Pauvre Richard, puis en 2016 Les Enfants de la chance. En 2024, il adapte au cinéma Ma Part de gaulois, l’ouvrage éponyme de Magyd Cherfi.

Durée : 1h31 suivi d’un débat avec Magyd CHERFI – Tout public

Tarif : 5.50 €

Dimanche 6 octobre à 10h30 – Strada 5

Film et débat – Soudain seuls, Thomas BIDEGAIN

Drame / Thriller

En couple depuis 5 ans, Ben et Laura ont décidé de faire le tour du monde en bateau. Avant d’atteindre l’Amérique du Sud, ils font un détour vers une île sauvage, près des côtes antarctiques. En pleine exploration, une tempête s’abat sur eux et leur bateau disparaît. Éloignés du monde, soudain seuls face au danger et à l’hiver qui approche, ils vont devoir lutter pour leur survie et celle de leur couple.

Thomas Bidegain est scénariste et réalisateur. Il est surtout connu pour avoir collaboré avec Jacques Audiard sur Un Prophète (2009) et De rouille et d’os (2012), pour lesquels il reçoit le César du meilleur scénario original et celui de la meilleure adaptation. Il a également coécrit les scénarios de Saint-Laurent de Bertrand Bonello, La Famille Bélier d’Eric Lartigau et des nombreux films de Jacques Audiard. Il réalise en 2015 son premier film intitulé Les Cowboys, avec François Damiens dans le rôle principal. En 2023, il réalise Soudain Seuls, avec Mélanie Thierry et Gilles Lellouche, l’adaptation du roman éponyme d’Isabelle Autissier.

Durée : 1h50 suivi d’un débat avec Isabelle AUTISSIER

Tarif : 5.50 €

Dimanche 6 octobre à 16h00 – Strada 5

Claude BARRAS

Film – Sauvages – Avant-Première

À Bornéo, en bordure de la forêt tropicale, Kéria recueille un bébé orang-outan trouvé dans la plantation de palmiers à huile où travaille son père. Au même moment Selaï, son jeune cousin, vient trouver refuge chez eux pour échapper au conflit qui oppose sa famille nomade aux compagnies forestières. Ensemble, Kéria, Selaï et le bébé singe baptisé Oshi vont braver tous les obstacles pour lutter contre la destruction de la forêt ancestrale, plus que jamais menacée.

Durée : 1h27 – Tout public à partir de 6 ans

Tarif : 5.50 €

Dimanche 6 octobre à 16h00 – Strada 1

Film et débat – Alain AMIEL, Artistes urbains / Ernest Pignon-Ernest – Avant-Première

Si le graffiti, l’affichage et le collage, premières formes d’intervention dans la rue, prolongent la pratique très ancienne des expressions politiques, l’Art Urbain s’est imposé à partir vers la fin du XXe siècle. En 1966, alerté par par la campagne de René Char « Point Omega », et pour dénoncer l’installation d’une force de frappe nucléaire au Plateau d’Albion, s’impose à Ernest Pignon-Ernest l’idée qu’il ne peut exprimer par la peinture ce que signifie cette puissance de mort enkystée sous les beaux paysages de Provence. À partir de l’emblématique photo d’un passant d’Hiroshima brûlé par l’éclair nucléaire dont il ne reste que l’ombre portée, il confectionne un pochoir et va tracer sur les murs, les rochers, les routes qui mènent au plateau d’Albion ces empreintes fantomatiques venues. […] Avec l’aide de Véronique Mesnager, spécialiste du streetart, quatorze artistes ont été choisis. Ils ont accepté avec enthousiasme de répondre à nos questions : Nadège Dauvergne, Artiste Ouvrier, Jérôme Mesnager, Codex Urbanus, Olivia Paroldi, Levalet, Zlotykamien, Morèje, Jef Aérosol, C215, Speedy Graphito, Paëlla, JR, Gonzalo Borondo (Espagne), et bien qu’elle nous ait malheureusement quitté, Miss Tic est présente par un texte qu’elle avait écrit sur Ernest. […] L’ensemble des interviews a ensuite été montrée à Ernest qui a réagi en expliquant très clairement son parcours, ses choix et ses différences avec ceux qu’il refuse d’appeler streetartistes, mais artistes urbains.

Alain AMIEL

Éditeur pendant plus de trente ans, Alain Amiel a beaucoup œuvré pour l’art et les artistes de notre région. Depuis une vingtaine d’années, il écrit de très nombreux articles pour les revues culturelles Art Côte d’Azur et Performarts. En juin 2013, il est élu membre de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art). Ces dernières années, il s’intéresse particulièrement au passage d’Amedeo Modigliani à Nice et Cagnes, pour lequel il a effectué de nombreuses recherches qui lui ont permis de réaliser un ouvrage très complet sur ce séjour. Par ailleurs, il réalise des films documentaires sur des artistes (Van Gogh, Bacon, Ernest Pignon Ernest) et celui-ci qui reprend l’essentiel de ses recherches sur Modigliani.

Durée : 1h30 suivi d’un débat avec Alain AMIEL, Ernest PIGNON-ERNEST et Olivia PAROLDI

GRATUIT

Dimanche 6 octobre à 16h00 – Strada 4

Film et débat – Antoine RAIMBAULT, Une affaire de principe – Les lobbies européens

Antoine Raimbault est un réalisateur français. Il a travaillé comme monteur pendant plusieurs années. Réalisateur de quatre courts métrages – dont Vos violences en 2014, marqué par l’interprétation d’Éric Dupond-Moretti -, il se passionne pour les questions liées à la justice. Son premier long métrage, Une intime conviction, a été conçu à partir des éléments du second procès de Jacques Viguier qui s’est déroulé à Albi en mars 2010.

Une affaire de principe (prod. Agat Films & Cie – Ex Nihilo, Memento Production)

Bruxelles, 2012. Quand le commissaire à la santé est limogé du jour au lendemain, dans la plus grande opacité, le député européen José Bové et ses assistants parlementaires décident de mener l’enquête. Ils vont alors découvrir un véritable complot menaçant de déstabiliser les instances européennes, jusqu’à leur sommet.

Durée : 1h35 suivi d’un débat avec Antoine RAIMBAULT et José BOVÉ

Tarif : 5.50 €

Dimanche 6 octobre à 17h00 – Strada 2

Film et débat – La montée de la mer sur nos côtes : Regarder la terre depuis la mer de l’ONG MALTAE

L’observatoire photographique du paysage littoral vu depuis la mer – l’OPPLVM – a été mis en place il y a dix ans pour observer sur le court, moyen et long terme l’évolution des paysages littoraux. La commande alliait une commande artistique, – photographique – pour découvrir ce bien commun que sont la diversité et la richesse des paysages littoraux de la région, à  un diagnostic pour évaluer les évolutions  en cours, à la fois état des lieux, mémoire historique et muséale et outil d’aide à la décision pour l’aménagement du territoire… Inverser le regard, prendre la mer pour regarder la terre depuis la mer ; plus qu’un observatoire, proposer un itinéraire pour observer et comprendre, rendre chacun observateur et engager un inventaire collectif des enjeux côtiers. Regarder ensemble et croiser des visions pour se projeter dans le futur. Une approche originale, souvent en kayak, tel un « chemin du littoral en mer » pour saisir les paysages dans leur épaisseur continentale et marine et dans leurs dynamiques : re photographier tous les trois ans pour scruter les évolutions autant sur le court terme que le temps long.

150 sites choisis sur ces 1000 km de côte des 66 communes littorales, îles, îlots, îlets et petite mer de Berre compris, où tenir un carnet de bord public, avec, en défi commun, celui de préserver la fragilité de la diversité et de la richesse des paysages littoraux. Un pas de coté, de l’autre côté de la frontière donne envie de poursuivre, à l’échelle de la Méditerranée toute entière, avec, en ligne d’horizon, un saut en Italie, à Grimaldi pour témoigner de la dimension culturelle d’un paysage et ouvrir une perspective pour une suite internationale. 

Suivi d’un débat avec l’ONG MALTAE.

Durée : 120′

GRATUIT

Dimanche 6 octobre à 17h30 – Strada 5

Hugo CHATELAIN, Benoit LE LOUARN

Film et débat – Vieille Branche : Les arbres sacrés du Sénégal – Avant-Première

Au cœur de la région Casamançaise au Sénégal, la communauté Diola voue un culte profond aux arbres séculaires, les considérant comme des entités sacrées. En collaboration avec Haidar el Ali, expert renommé, ainsi que des spécialistes et des autochtones engagés, notre projet vise à susciter une prise de conscience sur la nécessité de préserver ces vénérables arbres, souvent relégués à l’oubli. Ces majestueux spécimens jouent un rôle central dans tout un écosystème, mais ils se trouvent malheureusement menacés par des pratiques telles que la coupe de bois illégale ou simplement par l’ignorance d’une société de plus en plus éloignée de ses traditions ancestrales. Nous aspirons à partager cette histoire captivante pour encourager une réflexion collective sur la préservation de ce patrimoine naturel et culturel.

Suivi d’un débat avec les réalisateurs.

Durée : 60′

GRATUIT

Hugo CHATELAIN

Ayant acquis une expertise dans le domaine de la réalisation vidéo, Hugo a entamé sa carrière dans le secteur de l’audiovisuel suite à la réalisation de son premier documentaire intitulé « Which Way », récompensé par le prix du jury de l’ESRA. Il s’est ensuite penché plus en profondeur dans le milieu de la photographie, lui permettant aujourd’hui de diriger toutes sortes de shooting photo.

Benoit LE LOUARN

En tant que directeur de la photographie, Benoît s’est spécialisé dans l’art de maîtriser la lumière et de créer des images originales. Son expertise s’est forgée lors de tournages réalisés dans des lieux variés, lui permettant ainsi de développer ses compétences de manière significative.